10 janvier 2019

Activité physique

Quelles activités ?

Nous considérons chez ASSIR’M que la plupart des activités sportives peuvent être pratiquées par nos élèves (course à pied, zumba, boxe, natation…).

En effet, les modalités d’inscription et le bilan effectués par nos intervenants permettent de fixer les limites spécifiques de chacun et de déterminer des objectifs de progression.

A cela s’ajoute le professionnalisme ainsi qu’une méthodologie appliquée par nos praticiens en thérapie sportive, ce qui donne lieu à une pratique sécurisée.

Comment pratiquer ?

Les bienfaits de l’activité physique sur la santé ne sont plus à démontrer. « A ce jour, de nombreuses publications scientifiques ont montré les bienfaits de l’activité physique tant dans le traitement des maladies chroniques que dans leur prévention […] Aujourd’hui, la liste des bienfaits de l’activité s’est considérablement allongée : optimalisation du système musculo-squelettique, diminution du risque de cancers, amélioration du profil psychologique, diminution de l’incidence de la maladie d’Alzheimer, diminution du nombre d’hospitalisations, amélioration de l’indépendance à domicile du patient âgé. » Grosclaude et Zilteiner (2010).

Comment pratiquer ?

Pour que l’activité physique créée des modifications sur l’organisme, il faut absolument que la pratique soit :

  • régulière (au moins 2 fois par semaine, l’idéal étant au moins une demi-heure par jour),
  •  sécurisée (préservant des incidents ou accidents),
  • adaptée au niveau de pratique et à la pathologie (50% de l’activité maximale de la personne dans les premiers temps)

L’hygiène de vie en général doit être revue régulièrement (sommeil, tabagisme, alcool…).

Méthode :

Principes de notre méthodologie 

  • Le corps base fondamentale de notre travail.

Le corps sera le premier élément sur lequel notre méthode s’appuie en tenant compte de toute sa complexité.

Peu importe la discipline sportive pratiquée nous aurons une activité qui sera basée sur l’utilisation ciblée de l’ensemble des muscles striés de l’organisme, dans le respect de l’architecture biomécanique. Pour cela l’anatomie, la physiologie et  la psychologie seront des composantes essentielles de nos interventions.

  • Séance spécifique :

Lorsqu’une personne se présente à nos séances nous n’oublions pas que nous accueillons un être unique sous différents critères et qu’il est le reflet de son vécu.

Nous veillons donc par différents moyens à obtenir un maximum de données (socio-professionnelles, psychologie, vécu sportif, morphologie…) afin d’augmenter la sécurisation de nos cours mais également de les rendre le plus spécifique possible.

Cela permet la mise en place de contenus qui répondent aux besoins de l’ensemble des membres du groupe et ainsi de ne pas noyer la notion d’individualité dans celle du collectif.

  • Progressivité : corps & engins

Nous aurons une limite de progression due à l’utilisation unique du corps. En effet, son espace et les contraintes qu’il peut imposer à lui même vont être restreints.

L’organisme répond aux contraintes qu’il subit par une grande adaptabilité. Lorsque ses contraintes sont limitées il y a un phénomène de stagnation des qualités physiques qui apparaît voir un désentraînement.

Cette limite des variables et  des contraintes va avoir un impact sur l’intensité et la diversité des stimuli à plusieurs niveaux :

  • musculaires
  • neuromusculaires
  • proprioceptif
  • cognitif

Afin d’y remédier,  l’utilisation d’outils est une combinaison cohérente intégrée à une pratique adaptée et avec une logique de progressivité. Ainsi la variabilité des contraintes imposées par l’engin apportera une diversité essentielle des stimuli.

L’engin peut aller de la simple pente sur laquelle nous effectuons un travail de course au swiss ball en passant par l’ergocycle. Il n’y a pas de limite à ce niveau si ce n’est les contraintes de matériels et l’imagination de nos intervenants.